« La mémoire étant la sépulture des victimes, les arguties, de confite arrogance, de candeur blessante ou de jactance procédurière, sont des instruments de profanation. Ils œuvrent à absoudre le crime et à en altérer la conscience collective. Les actes commis ont un nom, ils doivent recevoir un statut juridique. Leurs auteurs sont identifiés. Le temps éteint les possibilités de poursuite mais la contumace n’efface pas la gravité des faits. Les victimes sont des êtres humains, pas des abstractions. Le crime contre l’humanité est imprescriptible. Nulle forclusion qui défende d’interroger et d’explorer la tragédie »
Intervention de M HOMBEL, représentante du MIR, Mouvement International pour les Réparations, MARTINIQUE, au sommet initié par le GIB, Groupe D’initiatives de Bakou.
Claudette Duhamel, intervention pour le MODEMAS et le MIR (Mouvement International pour les réparations, Martinique), au sommet du GIB, Groupe d’Initiative de Bacou.
Considérant la résolution 15-14 de l’ONU relative aux droits innés et actif des peuples à disposer d’eux-mêmes à travers la mise en œuvre de la Déclaration sur l’octrois de l’indépendance aux pays